Comme son père, Jan Davidsz (1606-1683/84), Cornelis mêle l’opulence et le sens du mouvement des Flamands et la technique illusionniste, fine et lisse des Hollandais. Ce genre d’exercice virtuose pouvait signifier à l’époque la vanité des biens terrestres et périssables, comme la pêche attaquée par l’escargot.