Le prince Chigi, propriétaire du parc de l’Ariccia, voulait qu’il soit un exemple de jardin sauvage et romantique. Hackert, professeur de dessin et ami de Goethe, représente une nature libre rendue à elle-même, ouverte sur un paysage humanisé par le palais princier et la plaine immense s’étendant jusqu’aux confins des marais pontins.