Commandé à Glaize en 1848, ce portrait résume les ambitions de Bruyas ; vêtu d’un châle oriental, il pose devant des vestiges antiques aux côtés d’une jeune femme incarnant l’Italie et s’affirme comme le protecteur des arts.
Commandé à Glaize en 1848, ce portrait résume les ambitions de Bruyas ; vêtu d’un châle oriental, il pose devant des vestiges antiques aux côtés d’une jeune femme incarnant l’Italie et s’affirme comme le protecteur des arts.