Ce carnet à dessin gigantesque plonge immédiatement dans un univers fantastique à l’image de celui d’Alice au pays des merveilles. Jeanne Susplugas nourrit son œuvre de ses lectures remarquables et ce carnet est plus précisément inspiré du livre éponyme de Manuel Puig narrant la relation entre deux prisonniers, dont l’un s’évade par la fiction, dans un processus qui rappelle également celui de la prise de médicaments, permettant au patient d’oublier ses maux et de s’évader de la réalité.