« Le 21 mai 1980, je suis allé en Roussillon pour l’embrasser une dernière fois. C’était devant une grande Vanité. Œuvre parmi tant d’autres qu’il venait d’exécuter magnifiquement. Le crâne classique y voisinait un bouquet sec. Le peintre aimait ce thème traditionnel de la mort et glorifiait en même temps les plantes, les plus humbles, ces quelques graminées dont les fines tiges liées formaient comme un gerbe d’or ».
Georges Dezeuze, à propos de Camille Descossy.